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vendredi 4 octobre 2024

L’UM5-Rabat et Laval-Québec signent 2 conventions de coopération

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L’Université Mohammed V de Rabat (UM5) et l’Université Laval de Québec (ULaval) ont conclu, jeudi 11 mai à Rabat, deux conventions de coopération à travers lesquelles les deux institutions s’engagent à coopérer dans les domaines de la formation, de la recherche scientifique, l’innovation, des technologies, ainsi que la création d’un Laboratoire International Associé, indique un communiqué de l’UM5.

Un communiqué de l’UM5 indique qu’une convention cadre a été signée par le Président de l’UM5-Rabat par intérim, Farid El Bacha, et le Vice-président aux affaires internationales et au développement durable à l’ULaval-Québec, François Gélineau.

Cet accord-cadre fera l’objet d’une entente spécifique. Les activités envisagées à savoir, échanges de professeurs et d’étudiants, activités conjointes de recherche, participation à des séminaires et échanges de documents scientifiques et d’enseignement, explique le communiqué.

De même, une convention spécifique a été signée d’une part, par Eugénie Brouillet, Vice-président à la recherche, à la création et à l’innovation à l’ULaval et Aurélie Campana, Doyenne de la Faculté des sciences sociales de l’ULaval-Québec et l’autre part, par M. El Bacha et le Doyen de la Faculté des Sciences de l’UM5-Rabat, Mohammed Regragui, d’autre part.

Le partenariat spécifique scellé vise la création d’un Laboratoire International Associé : Science, Environnements, Sociétés et Activités Minières (LIA SESAM). Ce laboratoire est constitué des Parties ainsi que des intervenants à savoir, Chaire de recherche « INQ » sur le développement durable du Nord relevant de l’ULaval – Québec et Laboratoire de Biotechnologie et Physiologie Végétales – Facultés des Sciences relevant de l’UM5-Rabat.

Le « LIA SESAM » proposera un programme de recherche et de formation novateur et porteur qui décline en quatre axes complémentaires qui vont permettre aux deux équipes de travailler conjointement à savoir, de penser à la diversification économique dans le contexte minier et post-minier (régions du Moyen Atlas, et de Schefferville et de l’Abitibi).

De même, de caractériser et faire le diagnostic environnemental et sociétal des sites miniers et post-miniers (projet du site d’Ahouli dans le Moyen Atlas).

Aussi de contribuer à la restauration environnementale et sociétale des territoires miniers, incluant la valorisation des rejets miniers (Moyen Atlas et Québec).

Et en fin d’informer les politiques publiques sur les pratiques des compagnies minières pour favoriser la conversion post-minière (Moyen Atlas et Québec).

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L'invité du Nouvelliste Maroc

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